Girondins en Ligue 2. Didier Couécou : « Le football, c’est pour tout le monde »

Girondins en Ligue 2. Didier Couécou : "Le football, c'est pour tout le monde"

« Mais je ne suis plus rien ! Je suis loin, je ne regarde plus les matchs. « Il…

« Mais je ne suis plus rien ! Je suis loin, je ne regarde plus les matchs. « Didier Couécou, ancien joueur des Girondins, directeur sportif et entraîneur à l’époque de Claude Bezen, a dû insister sur quelques mots au sujet de sa relégation en 2e division. , ces Girondins-là, entend-on dans sa voix, car ce sont des inconnus. à lui.

« Je ne connais personne de tous les gens qui se sont jetés sur Girondin, je l’aimais beaucoup », a-t-il commencé, donnant son avis, soulignant qu' »il ne pèse plus rien ». Tout ce que je sais, c’est que j’ai lu des articles sur le club dans les journaux. »

« Cela nous est simplement venu à l’esprit. La chute est inhérente aux gens qui dirigent le club, il ne peut pas fonctionner car ils sont étrangers aux Girondins. Ce sont des prédateurs qui se soucient des affaires, pas du football. Le football est généralement donné à des gens qui n’ont pas d’argent mais pas de connaissances. »

Vidéo : Les Girondins en Ligue 2. Didier Couécou : « Le foot est livré à n’importe qui »

« Pour moi, les Girondins c’est du passé »

« Pour moi, les Girondins c’est du passé »
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« Les gens qui contrôlent aujourd’hui sont dans le brouillard complet, il est difficile de savoir comment s’en sortir. Je suis d’accord qu’il est courageux d’essayer. Gérard Lopez a été champion à Lille, mais il n’y a pas d’équipe, il ne tient pas. Des gens notoires ont pris ce club pour se faire la lumière, mais ils n’ont aucun lien avec le football, ils se retrouvent dans le brouillard. »

Ce qu’il voit pourtant clairement : « Une équipe ne peut pas réussir sans management. Quant à certains supporters, « il ne faut pas se considérer comme le leader du club. Tout le monde a trop d’opinion sur ce club, les enjeux qui les concernent.

« Les anciens supporters qui ne regardent plus les matches, parfois on peut parler de match… » Didier Couécou ne se souvient pas de la baisse du niveau sentimental, « pour moi les Girondins c’est du passé ». On ne parle plus des éléments à mettre en place pour une promotion, puisqu’il a connu une chute et une ascension à Tolosa en 2000-2001 alors qu’il était directeur sportif. « Il faut prendre les bons joueurs pour la promotion », le personnage, le combattant, « mais uniquement pour la promotion, parce que c’est autre chose après ça. C’est une question de ressources. Vient ensuite la perte… »