Le géant de Wall Street a confirmé qu’il faisait partie d’un projet mis en œuvre par douze des clubs de football les plus prestigieux d’Europe. Elle pourrait bonifier le montant de 3,2 milliards d’euros sous forme de prêts, confirmant ainsi l’intérêt croissant des acteurs financiers américains pour le sport royal en Europe.
Publié le 19 avril 2021 à 17 h 31 Mis à jour le 19 avril 2021 à 17 h 35
Avant d’espérer gagner un revenu juteux, les grands clubs de football européens à l’origine du projet Super League doivent d’abord trouver les fonds nécessaires pour le créer. Pour y parvenir, ils ont décidé de se tourner … vers une banque américaine.
Le plus grand groupe bancaire coté, JP Morgan, a confirmé lundi qu’il allait financer une opération lancée par les douze clubs les plus riches du monde (dont six anglais). Sans donner plus de détails.
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