Super League: Perez et Agnelli cristallisent toutes les critiques du monde du foot

Super League: Perez et Agnelli cristallisent toutes les critiques du monde du foot

Suite à l’échec de la Super League, 48 heures seulement après le départ, Florentino Perez, le président du Real Madrid, et Andrea Agnelli, le patron de la Juventus, ont perdu gros.

48 heures pour tuer de nombreux ennemis. Les deux fers de lance du repêchage de la Super League, le président du Real Madrid Florentino Perez et le président de la Juventus Andrea Agnelli, ont été au cœur de toutes les critiques depuis l’explosion de la Super League avant même de sortir.

Mercredi, plusieurs grands clubs ont même demandé à l’UEFA des sanctions pour les 12 clubs qui ont lancé le projet de Super League. « Aujourd’hui, ils ont perdu toute crédibilité sur la scène européenne. Si vous louez un appartement et détruisez tout l’appartement, vous payez les réparations. Ils peuvent rester dans l’immeuble. L’UEFA mais ils doivent être punis. Pour leur méchanceté et leur goût agréable. »

Les mots sont tranchants mais montrent la colère et même la haine que certains Perez et Agnelli suscitent. L’humain, avant tout, blâme beaucoup Andrea Agnelli pour sa haute trahison contre Alexander Ceferin. Agnelli était très proche de Ceferin. Des amis proches, le premier même le parrain de la fille de l’autre. Selon diverses sources ces derniers jours, le dirigeant italien aurait refusé à plusieurs reprises à son «ami» une création de la Super League malgré toutes les rumeurs. Depuis samedi, lorsque le président de l’UEFA a tenté de l’appeler encore et encore, le téléphone du patron de la Juventus était sur la messagerie vocale. Longues heures. Toujours à la suite du même président italien, « Andrea nous a toujours admirés, mais la Juventus ne méritait pas la Superligue cette saison. Croyant que nous devenons plus forts, nous tombons parfois d’une hauteur. »