Dans l’équipe de football professionnelle, le monde d’après cela n’existe pas. En conséquence, c’est encore pire qu’avant. Au milieu de l’épidémie, alors que des centaines d’équipes académiques se préparent à quitter l’entreprise, plusieurs banques de football se moquent des mourants et sans instruction, en proposant la Super League des équipes.12 milliards d’euros en Europe, totalement verrouillée, fermée d’elle-même, à ramenez les plus chanceux dans les bunkers historiques. La riche bulle.
Que veulent ces «douze femmes», pleines de fierté et de mépris pour tout ce qui n’est pas entendu par des milliards à leurs oreilles et sur les marchés boursiers européens? Il y en a encore des milliards, souvent plus de milliards. L’amendement vise à créer une organisation puissante indépendante à part entière, telle que l’UEFA ou la FIFA, des organisations responsables des différents gouvernements européens. Surtout, il ne contrôle que les droits de télévision, déjà très nombreux, qui seraient augmentés de deux ou trois.
A la tête de cette annonce, le Real Madrid, la Juventus de Turin et de nombreux clubs anglais. Leur but est simple: vivre parmi eux, entre marchands de football, s’éloigner de tout ce qui pourrait être comme l’unité, l’éthique, et même «l’instabilité du jeu» pour devenir célèbre et inspirant, avançant à grands pas. Entrer dans une société d’événements extraordinaires reçoit toujours le pouvoir du roi-argent.
5 questions sur la polémique autour de la « Super League », « l’équipe VIP » de la puissance du football
Encore un peu d’espoir…
La compétition de la Ligue des champions du premier ministre ne serait qu’une compétition de voisin, une compétition de ville. Fondé en 1955 par une poignée de journalistes quotidiens de « L’Equipe », il a ravi des centaines de millions de supporters, dont beaucoup dénoncent ce « terrible » châtiment de la « reine ». De nombreuses fédérations de supporters de football, en Angleterre et dans de nombreux pays concernés, crient également contre la prise de contrôle des « non qualifiés ». Le président de l’UEFA Aleksander Ceferin, connu comme un homme de compromis, a creusé et menacé les «acheteurs» des pires sanctions possibles: exclusion de toutes les compétitions, blocage des joueurs qu’ils ont sélectionnés pour leur équipe nationale. Pouvez-vous imaginer Cristiano Ronaldo, la star de la Juventus de Turin, qui a été condamné à siéger sur un banc dans l’équipe portugaise? Ou Raphaël Varane, un défenseur du Real Madrid, a-t-il été condamné à ne plus porter le maillot des champions mondiaux au pouvoir?
En un clin d’œil dans cet événement tragique, le PSG et le Bayern Munich, qui sont en finale de la compétition, ont choisi de s’affronter et de ne pas soutenir la récompense. Et libre Boris Johnson s’est joint, tout comme Emmanuel Macron, à un concert de protestation. Tout le monde sait que ce mouvement «poker» testé par un groupe de douze est aussi une fraude, une tentative d’équilibrer la force de l’opposition internationale aux organisations de football, et de leur couper le nombril pour toujours. Si les « escrocs » réussissaient, l’image du jeu le plus célèbre du monde, vecteur terrifiant du lien social, des favelas de Rio au HLM de Sarcelles, serait totalement ruinée, prétendument brûlée sur l’autel. la cupidité et le mercantilisme. Nous espérons que l’explosion sera corrigée dès que possible. Pourquoi pas dans le contexte européen? D’ailleurs, est-ce l’autorité qui a été attaquée dans cette campagne puante?